Saturday, January 31, 2009

Cali for nia




n séisme modéré de magnitude 4,4 s'est produit samedi dans une zone peu peuplée du sud de la Californie (ouest), a annoncé l'institut de géophysique américain (USGS), sans qu'il soit fait état de dégâts ou de victimes dans l'immédiat.

L'épicentre de la secousse était situé à 7 km de profondeur, à 25 km au sud du village de Ridgecrest, non loin de la partie sud de la vallée de la Mort, et à 157 km au nord de Los Angeles, selon l'USGS.



Le séisme s'est produit à 13H09 (21H09 GMT) et n'a a priori pas été ressenti à Los Angeles. Aucun dégât n'a été signalé dans l'immédiat dans cette zone semi-désertique.

Pour mesurer la puissance d'un séisme, l'USGS utilise la "magnitude de moment" (Mw), qui est directement reliée aux paramètres du séisme (surface et quantité de glissement sur la faille). Sur cette échelle ouverte, un séisme atteignant une magnitude d'au moins 6 est considéré comme fort.

Striée de failles parmi les plus actives au monde, la Californie vit dans la hantise du "Big One", un séisme dévastateur sur la faille la plus importante, celle de San Andreas, dont les scientifiques estiment qu'il a 70% de risques de se produire dans les 30 prochaines années.

Une secousse de type "Big One", de magnitude 7,8, pourrait faire 1.800 morts, 50.000 blessés et 200 milliards de dollars de dégâts, selon un scénario élaboré par 300 experts et publié en mai dernier. La récurrence d'un "Big One" dans le sud de la Californie est d'environ 150 ans et le dernier s'est produit en 1857.

Il n'y a pas de bonheur plus grand Que d'être dans les bras de ses parents Il n'y a pas plus réconfortant Qu'un papa, une maman


(Betty Quette)
Changer les étiquettes
Ca bien sûr je sais faire
Mais pour que toi tu restes
C'est une toute autre affaire
(Le petit chimiste)
Moi je mélange les formules
Et je perds la mémoire
J'ai découvert le pull
En cherchant l'arrosoir
Mais là je n'ai rien inventé
C'est quelque chose que tout le monde sait

Il n'y a pas de bonheur plus grand
Que d'être dans les bras de ses parents
Il n'y a pas plus réconfortant
Qu'un papa, une maman

(Made in Asia)
Dès que l'on a cousu
Des yeux sur mon visage
Le malheur je l'ai vu
Et il avait ton âge
(Le conducteur de train)
Il se traîne, il dandine
Mon vieux train électrique
Mais au rayon blue jean
J'ai croisé l'Amérique
Et la statue de la Liberté
Sais-tu ce qu'elle ma soufflé ?

[refrain]
Il n'y a pas de bonheur plus grand
Que d'être dans les bras de ses parents
Il n'y a pas plus réconfortant
Qu'un papa, une maman

Tu ne peux pas rester
Parole de peluche
Vouloir être une jouet
Se serait peine perdue
Et pour la première fois au monde
On est tous sur la même longueur d'onde

[refrain]
Il n'y a pas de bonheur plus grand
Que d'être dans les bras de ses parents
Il n'y a pas plus réconfortant
Qu'un papa, une maman

Ca fait mal au coeur aie aie aie
Mais il vaut mieux que tu t'en ailles
[refrain]
Il n'y a pas de bonheur plus grand
Que d'être dans les bras de ses parents
Il n'y a pas plus réconfortant
Qu'un papa, une maman

Vive la technologie!




Quand Google affole les internautes
AFP
31/01/2009 | Mise à jour : 18:45 | Commentaires 6 | Ajouter à ma sélection
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Le moteur de recherche Google a provoqué aujourd'hui la stupeur sur Internet en étant victime pendant près d'une heure d'une panne où il désignait tous les sites du monde comme dangereux.
Samedi entre 15h30 et 16h25, lorsqu'un internaute tapait une recherche sur la page d'accueil de Google, la totalité des résultats indiquait que "ce site pourrait endommager votre ordinateur", dans toutes les langues disponibles, a expliqué Google.
Le groupe a plaidé coupable en invoquant "très simplement une erreur humaine".
Google reçoit régulièrement des mises à jour d'un fournisseur de sécurité, StopBadware.org, qui établit la liste des sites malveillants.

"Malheureusement, et là est l'erreur humaine, l'URL (adresse Internet, ndlr) / (slash, ndlr) a été par mégarde cochée dans le fichier et / se retrouve dans toutes les URL", a expliqué la société de Mountain View (Californie, ouest des Etats-Unis) sur son blog.
Après cette erreur, si les internautes tentaient d'accéder au site souhaité, Google faisait barrage et les redirigeait vers le site de StopBadware.org. Immédiatement, le site de StopBadware.org s'est retrouvé surchargé de requêtes.
"Les erreurs ont commencé à apparaître entre 15h27 et 15h40 GMT et ont commencé à disparaître entre 16h10 et 16h25 GMT, dont la durée du problème pour tout utilisateur unique a été d'environ 40 minutes", a précisé Google.
Le groupe a présenté ses excuses à ses utilisateurs et promis d'"enquêter soigneusement sur cet incident" et de "mettre en place des vérifications plus rigoureuses pour empêcher qu'il ne se reproduise".

Si j'étais le messie...



Si j'étais le Messie, je raconterais n'importe quoi,
N'importe où, n'importe comment,
Et les gens me croiraient,
Ils n'ont rien d'autre à faire...
Si j'étais le Messie, je mènerais en bateau
N'importe qui, n'importe comment,
Et les gens me croiraient,
Ils ne connaissent pas mes eaux...
Si j'étais le Messie, je serais pédéraste,
Avec n'importe qui, n'importe comment,
Et les gens me suivraient,
Reniflant mon derrière...
Si j'étais le Messie, je me ferais voleur,
Avec n'importe qui, n'importe comment,
Et les gens se tairaient,
N'ayant rien d'autre à faire...
Si j'étais le Messie, je construirais un temple,
Avec n'importe quoi, n'importe comment,
Et les gens y viendraient
Pour y montrer leurs airs...
Si j'étais le Messie, j'aurais un oeil de verre,
Pour pouvoir fermer l'autre, pour ne rien voir du tout,
Et les gens me plaindraient,
Et vanteraient ma misère !
Si j'étais le Messie, je serais un ivrogne,
Boirais n'importe quoi, n'importe comment et n'importe où,
Et les gens m'imiteraient,
Croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je marcherais sur l'eau,
N'importe où, n'importe comment,
Et les gens se noieraient,
Croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je ferais des miracles,
N'importe où, mais PAS n'importe comment,
Et les gens s'étonneraient, criant :
"Au nom du père !"
Si j'étais le messie, j'inventerais une crèche,
Pas n'importe comment, pas pour n'importe qui,
Seulement pour les enfants.
Les enfants grandiront, croyant toujours bien faire...
Si j'étais le Messie, je me ferais crucifier,
Pas par n'importe qui, pas n'importe comment,
Et les gens pleureraient,
Ne sachant trop que faire...
Je ne suis pas Messie, heureusement pour ma mère,
Qui ne pourrait plus vendre sa virginité,
Car les gens l'achèteraient,
Croyant toujours bien faire...
Il y a très longtemps, il y eut un Messie,
Il est venu d'ailleurs, d'une autre galaxie,
Et les gens l'ont tué...
Ils avaient cru bien faire !

Cho Kakao


Andry Rajoelina, 34 ans ,était à peine connu lorsqu'il s'est lancé à la conquête de la mairie d'Antananarivo il y un peu plus d'un an. (AFP)
Andry Rajoelina s'est proclamé samedi en charge des affaires de l'île, pour remplacer le président Marc Ravalomanana dont il veut obtenir la destitution.

«A présent, je vais donner les ordres» : c'est par ces mots que le maire de la capitale malgache Andry Rajoelina s'est autoproclamé, samedi devant quelques dizaines de milliers de partisans, en charge des affaires du pays, en remplacement du président Marc Ravalomanana, dont il réclame la destitution devant le Parlement.

«Nous sommes en train de mettre en place le gouvernement de transition et c'est moi qui vais gérer le gouvernement», a déclaré l'édile de 34 ans, depuis la place du 13 mai, lieu historique de la contestation malgache situé au cœur d'Antananarivo.

«Je fais appel à la banque centrale pour qu'elle ne délivre plus d'argent au gouvernement. Je demande à tous les ministères de fermer à partir de lundi. J'appelle les forces de l'ordre à nous rejoindre», a-t-il lancé sous les acclamations d'une foule disciplinée.

La présidence n'avait pas, samedi en début d'après-midi, réagi à ces déclarations qui interviennent après plusieurs rassemblements de masse dans la capitale malgache et la mort d'au moins 68 personnes, en début de semaine à la faveur de pillages.

Cette annonce a été précédée d'un véritable réquisitoire contre le chef de l'Etat, avec l'énumération des «violations de la Constitution» dont il se serait rendu coupable. Une réponse à peine déguisée du maire à la communauté internationale qui en appelle au respect de l'ordre constitutionnel. «Les bailleurs de fonds, les évêques, tout le monde nous dit : ‘respectez la Constitution'. Nous sommes d'accord. Nous allons donc proclamer ici les délits du président et du gouvernement au regard de la constitution», a ajouté Andry Rajoelina.

«Andry TGV»

A peine connu lorsqu'il s'est lancé à la conquête de la mairie d'Antananarivo il y un peu plus d'un an, celui que l'on appelle «Andry TGV» pour son caractère fonceur s'est imposé depuis son élection le 12 décembre 2007 comme le principal opposant à Marc Ravalomanana, au pouvoir depuis 2002.

Il a su capitaliser sur son nom les frustrations des Malgaches durement touchés par la hausse mondiale des prix alimentaires et leur ressentiment face à ce qu'ils considèrent comme des privations de la liberté d'expression, autant de sujets sur lesquels les partis d'opposition, en partie décrédibilisés, n'ont pas réussi à se faire entendre.

La fermeture à la mi-décembre de la télévision municipale, «Viva», avait servi de déclencheur à des rassemblements dans la capitale. Le plus important, lundi, a dégénéré en pillages et incendies volontaires de magasins, notamment ceux appartenant à l'empire agro-alimentaire du président.

La contestation a, depuis, essaimé en province où plusieurs magasins ont été pillés et incendiés. Mais samedi, la foule s'est dispersée rapidement et dans le calme. Les forces de l'ordre étaient absentes de la place du 13 mai et de ses environs. Le préfet d'Antananarivo et le chef de la gendarmerie avaient pourtant rappelé vendredi l'interdiction en vigueur depuis plusieurs mois de tout rassemblement.
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Ravalomanana: "je reste le président"
AFP
31/01/2009 | Mise à jour : 19:21 | Ajouter à ma sélection
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Le président de Madagascar Marc Ravalomanana a déclaré hier soir qu'il restait "toujours le président de ce pays", après les déclarations du maire de la capitale Andry Rajoelina affirmant qu'il assurait désormais la gestion des affaires malgaches.
"Moi, je reste toujours le président de ce pays et je fais le nécessaire pour développer ce pays", a déclaré à des journalistes Marc Ravalomanana au palais présidentiel à Antananarivo.
Interrogé sur d'éventuelles poursuites envisagées contre le maire de la capitale après ses déclarations, le chef de l'Etat a répondu: "Ici à Madagascar, nous avons un ministère de la Justice et aussi une Haute cour constitutionnelle et je crois qu'ils vont prendre leurs responsabilités".
"Il faut mettre en place la sécurité et respecter la loi", a ajouté M. Ravalomanana, qui a appelé la population malgache à aller travailler normalement lundi.
"Puisque le président et le gouvernement n'ont pas pris leurs responsabilités, je proclame que je vais gérer toutes les affaires nationales à partir d'aujourd'hui", avait auparavant déclaré le maire d'Antananarivo devant des milliers de partisans.
"Je fais appel à la banque centrale pour qu'elle ne délivre plus d'argent au gouvernement. Je demande à tous les ministères de fermer à partir de lundi. J'appelle les forces de l'ordre à nous rejoindre. A présent, je vais donner les ordres", avait-il ajouté.
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Là, ça casse la Barack



C'est le summum de l'irresponsabilité », s'est écrié, vendredi, Barack Obama en apprenant que 18,4 milliards de primes venaient d'être distribués par les banques de Wall Street à leurs employés. Crédits photo : AP
Le président américain prépare l'opinion à un nouveau plan bancaire.

De notre correspondant à Washington

Barack Obama prépare une opinion américaine et un Congrès réticents à l'annonce d'un nouveau plan coûteux d'aide aux banques. Ce contexte politique difficile explique que le nouveau président ait judicieusement médiatisé sa colère en apprenant que 18,4 milliards de dollars de primes venaient d'être distribués par les banques de Wall Street à leurs employés au titre de « leurs performances » en 2008.

« C'est le summum de l'irresponsabilité » s'est écrié Barack Obama. « Le temps viendra pour les banquiers de faire des profits et de toucher des bonus. Mais ce moment n'est pas arrivé » , juge le président américain. Aux prises avec une crise bancaire sans précédent, il risque d'être acculé à demander au Congrès au minimum 1 000 milliards de dollars de plus pour stabiliser la finance américaine. Alors que le chômage grimpe, que la récession sévit, et que les contribuables américains ont déjà versé près de 300 milliards de dollars pour sauver des dizaines de banques (sur 700 milliards budgétés), le paiement de bonus à des banquiers dépendants d'aides publiques fait scandale.

Suppressions d'emplois

En fait, ce ne sont pas les dirigeants des grands établissements de Wall Street qui ont perçu ces récompenses. Sous la pression de Washington et de leurs actionnaires, ces derniers ont tous « volontairement » renoncé aux millions de dollars qui viennent les bonnes années s'ajouter à leurs salaires de base moins indécents. Les 18,4 milliards ont été plutôt distribués aux cadres et aux employés des banques jugés les plus méritants, y compris à leurs secrétaires et leurs assistants. De plus, si les piliers de Wall Street ont collectivement perdu plus de 35 milliards de dollars en 2008, tous les métiers pratiqués par ces firmes n'ont pas généré des pertes. Les bonus 2008 sont aussi censés refléter les résultats honorables de nombreuses équipes jusqu'à la mi-septembre, date où le monde de la finance a basculé.

En moyenne individuelle les bonus du millésime 2008 sont en baisse de 36,7 % à Wall Street. Ce recul aurait été plus marqué si de nombreuses firmes n'avaient pas déjà considérablement réduit leurs effectifs.

La colère de Barack Obama reflète l'émoi des Américains qui se demandent si l'argent de leurs impôts, distribué dans l'urgence au nom du sauvetage du système financier, ne vient pas de servir à enrichir des banquiers irresponsables. La Maison-Blanche veut donc s'assurer que les prochaines aides de l'État seront conditionnées à de strictes limites sur la manière dont les ressources seront allouées.

Pour le monde de la finance, la controverse suscite une remise en cause du modèle de rémunération hérité des années 1980. Les bonus gigantesques, calculés sur la base de profits à court terme sur des activités de marché, ont clairement poussé certains à prendre des risques excessifs. Ce n'est donc pas simplement pour des raisons d'image, mais aussi pour mieux contrôler leurs risques à moyen terme, que les banques ont intérêt à revoir leur mode de rémunération.

LIRE AUSSI

» L'économie vit-elle le plus fort de la crise ? (avec jdf.com)

» PIB américain : «c'est un désastre» selon Obama

ça se corse....






Corse : MAM veut une "task force"
AFP
31/01/2009 | Mise à jour : 12:42 | Commentaires 5 | Ajouter à ma sélection
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La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a fixé à Ajaccio comme "priorité" aux policiers et gendarmes de Corse d'y renforcer la lutte contre la grande criminalité, et annoncé la création d'une "task force" de renseignement et des équipes communes d'enquête.

Elle a dévoilé les grandes lignes de son plan à la presse, à l'issue de la "réunion sécurité" qu'elle a tenue, entourée des directeurs généraux de la police nationale, Frédéric Péchenard, et de la gendarmerie, le général Roland Gilles, avec le coordonnateur des forces de sécurité dans l'île, Gilles Leclair, et les responsables insulaires des deux forces.

"J'ai fixé comme priorité une intensification de la lutte contre la grande délinquance et les trafics qui (l') alimentent", a-t-elle relevé.

Selon les deux directions générales (DG), cela passe en premier lieu par la "création d'une +task force+ de renseignement opérationnel", tant en matière de terrorisme que de grand banditisme.

Dans un second temps, dans le cas par exemple "d'un assassinat, d'une personne en fuite, ou autres", il s'agit de "mettre sur pied une +équipe commune d'enquête+ constituée de policiers et gendarmes, spécifiquement dédiée à l'affaire concernée", a-t-on ajouté.

Une fois l'affaire résolue, le fuyard retrouvé, l'équipe sera dissoute et chacun rejoindra son service.

à fond, à fond à fond



Attendu dimanche, sauf fortune de mer, le Forestois remportera un deuxième succès historique, dans un temps record. Après un deuxième départ et une démonstration exceptionnelle.

Deuxième tentative, deuxième succès. Il semble écrit aujourd'hui que Michel Desjoyeaux devrait embouquer le premier le chenal des Sables-d'Olonne, dimanche matin. Huit ans ont passé et l'histoire repasse le même chant de gloire. Le scénario, les acteurs, les décors méritaient tous les dithyrambes avant le départ. Et la fortune sourit une fois encore à un amiral médaillé plus qu'à son tour. Pourquoi lui, encore et toujours ? La question vrille les âmes les mieux faites, les cœurs les plus vaillants de ses compagnons d'un peu plus de deux mois de route. Quatre-vingt-trois jours et des brouettes, record en prime pour ce tour du monde en solitaire le plus extrême.

Ce n'aurait pas dû être lui. On a pu le croire quand son fier destrier, Foncia, se rebiffa à reculons vers les rochers de port Olona le 9 novembre, jour de l'échappée belle. On s'est dit que cela deviendrait sacrément plus difficile quand il revint à quai le 10 pour une défaillance électronique. À peine deux jours de course, et il repartait avec quarante heures de retard, jusqu'à 675 milles abandonnés à une tête de flotte cravachant à bride abattue vers le sud. Le marin s'est fait alors poète, naviguant libéré du joug du regard des autres.

On ne saura pas sans doute avant dimanche le rythme infernal de nuits sans sommeil et à la barre qu'il s'est imposé, ni comment il a fait chauffer ses paumes. Mais il est revenu, lâchant ce souffle chaud sur des adversaires qui semblaient s'accommoder de cette régate compacte à l'heure d'affronter les océans furieux du Sud. Dans la valse à cinq temps qui s'est jouée la tête en bas, il est ressorti commandeur de la flotte, rôle qu'il a ensuite statufié. Ses prédécesseurs ont payé leur dû à la course. Loïc Peyron, démâtage. Sébastien Josse, roulé par une déferlante. Jean-Pierre Dick, gouvernail en berne. Mike Golding, démâtage. Yann Eliès, fémur et bassin brisés sur un mur d'eau. Jean Le Cam, chavirage. Vincent Riou, dans son sauvetage du roi Jean, il y laissa son mât. Enfin, il restait Roland Jourdain. Une collision avec un cétacé grippa le bras de fer et Bilou en paie depuis deux jours le prix fort (lire encadré).

Ces casses mécaniques dans un sport de prototypes font partie du jeu. Michel Desjoyeaux, sur d'autres terrains, a connu son lot. Alors la fortune tournerait-elle toujours dans le même sens ? « Il n'a pas fait d'erreurs, il a la réussite avec lui mais il la provoque aussi », réhabilite le vaillant Armel Le Cléac'h qui pourrait retrouver la terre en dauphin.

Michel Desjoyeaux, 43 ans, ne gagne pas toujours. « Mais quand il entreprend quelque chose, il y a 90 % de chances qu'il réussisse », souligne Vincent Riou, le vainqueur 2004 détrôné. « C'est un marin hors normes. Et il n'y en aura pas un comme lui avant longtemps. Alors que dire ? » « Il est parfait et Dieu sait si la perfection est chiante ! » renvoie dans les cordes de la gouaillerie l'ami de toujours, Jean Le Cam.

Michel Desjoyeaux fait le tour du monde, mais c'est un empêcheur de tourner en rond. Il fait le tour du monde, mais son monde se love dans une ancienne vasière devenue Port-la-Forêt. Là où il a appris que travail et ingéniosité pouvaient bâtir de grandes choses. C'est là que sont installés les entrepôts de CDK, le chantier de construction créé en 1983 par ses deux frères Hubert et Bertrand, et Jean Le Cam. C'est là qu'œuvre son équipe de Mer agitée, PME fondée en 1999. Là, encore, que le centre national Course au large a élu demeure.

Le mieux est toujours possible

« On n'est pas vraiment des compétiteurs. Par contre, quand il s'agit de faire avancer le schmilblick, on aime bien essayer. C'est dans nos veines. » Hubert Desjoyeaux a le même profil droit, la même agitation sous le crâne que son cadet. « Je sais que Michel est capable d'assumer un peu plus de risques, mais des risques mesurés dans la conception de son bateau. S'il sent un truc, si on est d'accord sur la façon de faire, il va être plus preneur et moteur de la solution. Et je crois que pour gagner le Vendée Globe, il faut avoir un coup d'avance. »

Le refus systématique de toute solution préétablie, la certitude que le mieux est toujours possible, conjugués à un esprit analytique, nourrissent sa démarche. De ses géniales améliorations, certaines équipent désormais tous les bateaux de la course au large comme la quille pendulaire. Sur ce Vendée Globe, il a dévoilé une trinquette spécialement conçue pour les mers du Sud où sa vitesse de « croisière » dépassait celle de ses concurrents.

Tous ceux qui le connaissent se souviennent d'un Michel débrouillard et bricoleur, héritage d'une éducation bâtie à Kerleven dans ce qui était encore un no man's land naturel, vaste terrain d'expérimentation pour la curiosité des gamins Desjoyeaux. « Au début, on n'avait pas un rond. La seule chose gratuite qu'on avait, c'était nos neurones. Et Michel est particulièrement futé », souligne Jean-Paul Roux, l'ami et préparateur des temps désargentés qui œuvre désormais comme directeur général de Mer agitée. Où il s'est entouré « de personnes qui ont la même approche en termes de technologie, qui puissent répondre à sa façon d'imaginer ses projets ».

« C'est quelqu'un qui n'aime pas laisser les choses inexplorées », décrit volontiers un de ses meilleurs amis, Christian Melquion. « Plus jeune, il était timide et pudique. Il avait des certitudes vis-à-vis de lui mais de grandes incertitudes sur le monde extérieur. » Il est aujourd'hui plus à l'aise, aidé par son entourage dont sa compagne Régine. « C'est un étrange animal, qui tient de l'ours dans sa façon bourrue de dire les choses, de l'huître quand il ne veut pas dire les choses et du renard dans cette façon d'être rusé en course. » Un animal qui demande aussi à être apprivoisé. Son franc-parler, parfois, dérange. Lui aime sa liberté de parole et de pensée. Et tant pis si « la France préfère Poulidor à Hinault », glisse Jean-Paul Roux. Sur l'eau, le résultat est incontestable.

Friday, January 30, 2009

L'humain garde le pouvoir sur la machine


Les modèles économiques ne répondent plus
Caroline Mignon | JDF HEBDO | 31.01.2009 | Mise à jour : 22H41
Au fond, la nouvelle est plutôt rassurante : en matière de modélisation économique, la machine n'a pas encore pris le pas sur l'homme. Aujourd'hui, la situation économique est telle, si exceptionnelle, si alambiquée, que les modèles économiques, qui servent à établir des prévisions, ne suivent plus. « Forcément, ces modèles fonctionnent grâce à des données historiques. Ils agrègent les situations qui se sont déjà produites pour en faire une moyenne. Or actuellement, de nombreux paramètres, comme les enquêtes de conjoncture, atteignent des niveaux jamais atteints », explique Eric Heyer, à l'OFCE. Qu'il s'agisse de l'enquête de l'Insee auprès des industriels ou du Conference Board auprès des ménages américains, tous les indicateurs atteignent des plus bas historiques.
Les modèles ne peuvent assimiler les éléments inédits
Avec l'Insee, la direction de prévision du ministère de l'Economie et la Banque de France, l'OFCE constitue en France l'un des rares utilisateurs des modèles économiques, très coûteux. A l'OFCE, près de la moitié des douze chargés d'études travaillent sur cet outil. Les banques ou les organisations de type Rexecode n'en utilisent pas.
Outre ces éléments inédits qui ne peuvent être interprétés par les outils de modélisation économique, la prise de conscience de leurs limites ne date pas d'hier. Les modèles lissent les évolutions et ne peuvent prendre en compte les décisions de politiques économiques à venir. Non, les outils de modélisation ne sont ni ne seront jamais des boules de cristal, capables de prophétiser des éléments aussi imprévisibles à moyen terme que des arbitrages politiques ou des décisions de politique monétaire. « Par ailleurs, les modèles ne savent pas anticiper les ruptures cycliques. Il leur était impossible de savoir quand et comment le marché du crédit américain arriverait à saturation », indique Véronique Riche-Flores, à la Société Générale. Bref, impossible de prévoir quand les bulles vont éclater. C'est là où l'économiste intervient, qui doit être « à la fois un bon conjoncturiste et un bon modélisateur », ajoute Eric Heyer.
Le cadre comptable est toujours respecté
Pour autant, les modélisations ne sont pas caduques, pas plus qu'elles ne sont inutiles. Car elles permettent par exemple de calculer de façon « raisonnable » l'impact des mesures de politiques économiques, de faire des prévisions cohérentes en respectant toujours le cadre comptable. C'est donc un guide, capable de donner une tendance générale mais qu'il faut parfois un peu aiguiller pour lui faire prendre en compte des éléments exogènes.
Puisqu'ils se nourrissent de données historiques, les modèles devraient, sur la durée, gagner en exactitude. Mais tant que les fluctuations de l'économie dépendront de comportements sociaux et de décisions individuelles, aucun modèle ne sera infaillible.

Thursday, January 29, 2009

Jean Leloup et la sale affaire


1990 Lyrics


Mesdames et messieurs attention
je vais vous faire une chanson
le sujet en est ambitieux
de mon image je suis soucieux
en 1990
c'est l'heure des communications

depuis le début de ce siècle
nous avons vu l'apparition
du moteur Ford à explosion
puis de l'avion à réaction

mais de toutes les inventions
c'est sans doute la bombe à neutrons
qui nous laissa le plus baba
au cours du célèbre hiroshima
mais 1990 devrait nous laisser tous pantois
devrait nous laisser tous gagas

il y a des missiles patriotes
dirigés par ordinateurs
sony fuji et macintosh
se culbutent dans les airs le rush
la guerre technologique fait rage
c'est un super méga carnage
attention voilà les avions
qui tirent
c'est l'heure de l'émission
en 1990
c'est l'heure de la médiatisation
en 1990
c'est l'ère de la conscientisation

fini les temps maudits du sport
du jogging et de la cigarette
la preuve en est nos beaux soldats
américains qui sont là-bas
bronzés à la vitamine D
nourris aux fibres équilibrées
les mort qui seront faits là-bas
seront en bonne santé je crois

les impôts du contribuable
n'ont pas été payés en vain
la preuve en est il est possible
de ne jamais rater sa cible
si on connaît le vidéo
si on se pratique le coco
bientôt disponible bientôt
koweit irak en nintendo
en 1990 c'est l'ère de la socialisation
en 1990 c'est la démocratisation

j'en était à ces réflexions
quand tout à coup je me sens con
assis par terre dans le salon
je ne fous rien je suis un con
heureusement que ma copine
a soudain l'idée de génie
de me toucher le porte-avion
vite fait je lui sors mon canon
ça va chauffer oui mon amour
je pointe mon radar à ions
en plein dans ta sortie de secours
je vais larguer mes bombes attention
en 1990 j'ai mis ma participation
en 1990 j'étais dans la coalition
en 1990 (bis)
hier soir dj a sauvé mon âme avec cette chanson (bis)

Wednesday, January 28, 2009

Haut russ

On n'insulte pas le crocodile avant de traverser la rivière"
LE MONDE | 28.01.09 | 14h35 • Mis à jour le 28.01.09 | 19h11

LargO


Keskonv Affaire de Toi

Qu'est ce qu'on va faire de toi? Qu'est ce que t'as dans la tète?
Tu ne sais que danser, tu ne sais que contester..
Qu'est ce qu'on va faire de toi? Qu'est ce que t'as dans la tête?
Tu ne sais que danser, tu ne sais que rater ta vie..
Qu'est ce qu'on va faire de toi? Qu'est ce que t'as dans la tête?
Tu ne sais que danser, tu ne sais que sortir de chez toi..

On va faire de toi un homme, On va faire de toi une femme,
On va t'utiliser pour des crash test, on va te présenter a des dervish tourneurs..
On va bloque ton compte, on va te dire les astres, on va détartrer tes dents..
On va e saupoudrer de sacharine,on va encadrer des photos dans ton salon, on va t'appeler
les urgences

Qu'est ce qu'on va faire de toi? Qu'est ce que t'as dans la tete?
Tu ne sais que danser, tu ne sais que rater ta vie
Qu'est ce qu'on va faire de toi? Qu'est ce que t'as dans la tete?
Tu ne sais que danser, tu ne sais que sortir de chez toi..

On va t'occuper avec des sitcoms, On va t'occuper avec ton surmoi,
On va t'occuper avec des diplômes, On va t'aveugler avec des larmes
On va t'aveugler avec ta libido, On v adébrancher tes neurotransmeteurs
On va te divertir avec des sosies, Onva te divertir avec des BPM
On va penser a toi avec des cernes, On va penser a toi avec des sms, On va penser a toi
avec airbases, On va t'envoyer en l'air..

On va t'inoculer de l'allégresse, On va t'injecter de la graisse, On va te faire des
promesses, On va renier ton etoile
On fera de toi une victime collatérale, On te coulera dans le macadam
On va te diviser en pixels , On va multiplier ton quotient intellectuel
On va rappeler tes anciens amis, On va leur dire que tu filtre
On va changer on théorème, On va trouver quelqu'un qui t'aime On va trouver quelqu'un qui
t'aime On va trouver quelqu'un qui t'aime

Qu'est ce qu'on va faire de toi?
Des romances nerveuses
Qu'est ce que t'as dans la tête?
Des romances nerveuses
De quoi as tu envie?
De romances nerveuses
De quoi as tu besoin?
De romances nerveuses

On va t'aimer sans conditions, On va t'aimer sans raisons
On va t'aimer sans fin, On va t'aimer sans fond..

Qu'est ce qu'on va faire de toi?
Des romances nerveuses
Qu'est ce que t'as dans la tete?
Des romances nerveuses
De quoi as tu envie?
De romances nerveuses
De quoi as tu besoin?
De romances nerveuses
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Pff, merci les gars ...qu est ce que je pourrais rajouter?

Tuesday, January 27, 2009

ZooZumainsZebus

Je regarde passer les zumains de ma rueUn peu comme on reluque au zoo les zébus.Triés, normalisés, fonctionnels, uniformesAvec leurs initiales gravées sur leurs condomsEt je cherche un abri sur une étoile occulteAfin d'me tricoter des œillères en catgut.J'm'arracherais bien les yeux mais ce serait malveillanceVu qu'j'ai déjà vendu mon cadavre à la science.Je n'ai pas la frite.Repasse me voir demain, lady.Plus de mur à Berlin pour justifier ma honte,Quand je reviens bourré dans mes baskets en fonteEt cui d'Jerusalem est trop loin du bistrotPour que j'm'y liquéfie en chagrin lacrymoMais loin de moi l'idée d'être irrévérencieuxEt d'flinguer les chimères qui rendent le monde heureux.Chacun sa religion, chacun son parachuteEt je mets mon foulard quand j'vais à la turlute.Je n'ai pas la frite.Repasse me voir demain, lady.J'écoute la mode en boite sur mon ghetto-blaster,Dans le joyeux ronron quotidien des horreurs.Pas la peine de s'en faire. Il suffit d'oublier.Demain je s'rai funky, rastaquouère et blindé.A part ça, tout va bien comme dit Schopenhauer.Pendant la durée des travaux, je reste ouvert.J'imaginerai Sisyphe gonflé aux anabosEn train d'faire sa muscu dans la cage aux héros.Je n'ai pas la frite.Repasse me voir demain, lady.

Pire que les locataires, les squatteurs

Un sanglier a "fait le ménage" à sa façon dans le salon d'un particulier de Kaysersberg (Haut-Rhin), au premier étage d'une maison du centre historique de cette ville du piémont des Vosges, avant d'être abattu par un policier, a indiqué aujourd'hui le maire de la commune à l'AFP.

"C'était comme dans un dessin animé de Tex Avery", a raconté Henri Stoll, maire (Verts) de la commune située au milieu des vignes.

L'animal, une bête imposante de 70 à 80 kilos, s'était d'abord retrouvé coincé après une chute dans les jardinets situés entre le château de Kaysersberg et les maisons adossées à flanc de colline. Il a ensuite traversé la vitre de la cuisine de l'appartement, avant de prendre ses aises dans le salon.

C'est le propriétaire du logement, venu vérifier si le ménage avait bien été fait et si tout était en ordre avant un rendez-vous avec des locataires potentiels, qui s'est "retrouvé nez-à-nez" avec l'intrus, a précisé M. Stoll
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Apres on me demande pourquoi je veux pas louer ma barack ...
Pfff gross fatigue

deux freres







3 en 1

Franz croasse y?



Daniel Costantini, entraîneur des Bleus entre 1985 et 2001, revient sur certaines des rencontres franco-croates qui l'ont marqué. De la première en 1993, à cette demi-finale des JO perdue à Atlanta. Le technicien, double champion du monde (1995 et 2001) évoque également la prochaine, mardi à Zagreb (20h30). Les deux équipes ayant déjà leur billet pour les demies en poche, l'intérêt de la rencontre sera très relatif... Costantini parle lui de «match de dupes».

Le premier France-Croatie (1993)
«C'est un relatif mauvais souvenir. Les dés étaient un peu pipés pour nous. Il s'agissait de la première apparition de la Croatie en tant que nation. Elle venait se présenter aux Jeux Méditerranéens avec son arsenal de stars : Saracevic, Smajlagic et compagnie... Nous, nous avions disputé la finale du Mondial en Suède quelques mois auparavant et nous nous sommes présentés avec une équipe que Claude Onesta appelerait A', avec beaucoup de nouveaux joueurs. Guéric Kervadec, Gregory Anquetil ou encore Stéphane Cordinier faisaient leurs débuts : il s'agissait vraiment d'une équipe expérimentale. Moi, j'ai toujours essayé de préparer l'avenir, mais en donnant du temps de jeu aux gens. Je ne fonctionne pas comme Claude Onesta. En fin de compte, ce souvenir-là est à la fois amer, parce qu'on a perdu (23-19) et même frôlé l'humiliation à certains moments, mais ça a été très instructif et positif pour la suite : deux ans après, on les a rencontrés en finale du Championnat du monde en Islande. Et ce jour là, ça n'est pas eux qui ont mis le dernier but en se foutant de notre gueule !»

La finale du Mondial 1995, première couronne mondiale du handball français
«Ce match s'est déroulé sans aucun problème (23-19). Les Barjots étaient au sommet de leur art. Ils avaient décidé d'être champions du monde. Ils ont tous donné ce qu'ils devaient apporter pour l'être, en particulier au niveau de la défense. Et Jackson Richardson a été remarquable. Ils ont empêché la Croatie de développer son handball et pourtant, quand on revoit la feuille de match, la plus belle équipe croate de l'histoire était sur le terrain. Elle a été championne olympique l'année d'après, il s'agissait vraiment d'une dream-team. Et pourtant ce jour là, la qualité de la défense française a réussi à l'empêcher de jouer.»

Le meilleur souvenir d'une rencontre franco-croate ? (1995)
«L'efficacité de Jackson Richardson (Photo L'Equipe) en finale du Mondial 1995, où il vole quatre ou cinq ballons à lui tout seul qui font la différence. Même si c'est un peu réducteur, c'était Jackson contre la Croatie.»

Le plus mauvais ? (1996)
«La demi-finale des Jeux Olympiques d'Atlanta (1996). Nous avons abordé le combat avec un excès de suffisance. On a perdu ce match (24-20) en voulant se battre contre les Croates au lieu de jouer au handball. On a eu un comportement un peu stupide. On a voulu forcer. Et puis on est passé au travers. C'était bien la caractéristique des Barjots : capables une année d'être concentrés, ensemble, solidaires, presque - j'ai dit presque - capables de faire des sacrifices pour faire des performances... Et puis l'année d'après, penser qu'il n'y avait pas besoin de s'entraîner, de se coucher tôt, qu'ils pouvaient tout faire, coucher avec toutes les filles du village olympique... et en même temps être champions olympiques !»

Et ces Experts ?
«Ils ne sont pas très Français... (sourires). Ils sont vraiment différents des Barjots. Là, il s'agit d'une génération presque programmée pour être inoxydable. Il a fallu du temps pour qu'ils se construisent. Car si on est champions du monde en 2001, en 2002, on ne fait rien... En 2003, ce n'est pas terrible, en 2005, c'est très moyen. Il a fallu attendre 2006 et le titre de champion d'Europe. C'est grâce aux arrivées de joueurs exceptionnels comme Michaël Guigou, Nikola Karabatic ou Luc Abalo qu'il y a maintenant une équipe qui me paraît en acier trempé, à l'image des Suédois dans les années 90.»

Le prochain France - Croatie (mardi 20h30)
«Il ne présente aucun intérêt. C'est un match de dupes complet. J'essaie de me mettre à la place des Croates. Vont-ils vouloir enfoncer les Français pour leur montrer qu'ils n'auront aucune chance, au risque de susciter chez nous un espèce de sentiment de vengeance ? Ou est ce qu'ils vont faire comme ils ont déjà fait, ne pas jouer ? Ce sera un match d'où on ne tirera pas d'enseignements.»

Un Croate parmi les autres : Ivano Balic
«C'est un joueur exceptionnel. Un des meilleurs amis de Balic s'appelle Jackson Richardson. Malgré leur différence d'âge (10 ans), ces deux là ont des choses en commun. Ils ont joué ensemble en club à Pampelune et se sont appréciés mutuellement. Ils possèdent le même type de recherche dans le jeu. Tout est dans l'esthétisme, et non dans le combat. Un Nikola Karabatic n'est pas comme eux. Nikola mise tout sur l'efficience, il recherche plus à être efficace dans tous les secteurs même si ça n'est pas beau. Eux sont un peu des magiciens qui jouent plus pour se faire plaisir, faire plaisir au public, pour le beau geste, plus que pour se construire un palmarès.»

le plus croate des c'estfranc

Nikola, star des Bleus, déchaîne les passions aux Mondiaux qui se déroulent sur les terres de son père, Branko. Zoom sur une relation père-fils transcendée par la passion du hand.

«À titre de comparaison, c'est comme 1998 pour la France. Multiplié par dix. C'est ça le sport en Croatie » Branko Karabatic, père de Nikola, n'est guère surpris par l'incroyable ferveur qui s'est emparée de son pays à l'occasion des Championnats du monde. Et encore moins par la «Karabatik-mania» déclenchée par son fils. Les quotidiens multiplient les pleines pages sur «le prince des Balkans». Philippe Bana, le DTN français, résume bien la folie ambiante : «La moitié de la Croatie veut prendre une photo avec lui, l'autre cherche à connaître son histoire.» La success story du Français fascine. Père croate et ancien portier international yougoslave, mère serbe, la famille qui débarque en France en 1988 et, donc, le meilleur joueur du monde 2007 qui porte le maillot bleu. Un cocktail «balkan» aux reflets tricolores.

Par la force des choses, des polémiques ont fusé. Le joueur de Kiel aurait déclaré vouloir stopper le Croate Ivano Balic comme il l'avait fait à Pékin, en demi-finale des Jeux (25-23). La star croate a désamorcé l'affaire en lançant : «S'il m'arrête encore une fois, j'arrête le hand !» Une petite guéguerre des mots qui laisse le natif de Nis, en Serbie, de marbre : «Ils ont dix pages à remplir dans les journaux. Ils ont besoin de trouver des trucs pour faire vendre.» Pour le choc dépourvu d'enjeux contre les Croates, ce soir (20 h 30 sur Sport +), il devrait être ménagé.

«C'est comme si je jouais chez moi»

Vendredi, pour la demi-finale à Split, il évoluera presque à domicile. «C'est comme si je jouais chez moi, on a une maison à Poljica, un petit village près de Trojir, confie-t-il. D'ailleurs mes parents et ma famille vont y dormir quand ils vont venir au match.» L'endroit, où il n'est plus retourné depuis 2003, le renvoie à ses vacances d'enfance. À l'époque il avait convié Didier Dinart et sa famille. Mais, cette année, il n'est pas là en villégiature. Accueil houleux pour les Bleus. «L'Expert» y voit «une marque de respect». «Cela veut dire qu'ils ont peur de nous, assène-t-il, sourire en coin. C'est magique de jouer dans des ambiances comme celles-là. Si les choses comme ça nous font péter les plombs, c'est que l'on n'est pas assez costaud dans nos têtes.» Et la tête, le gaillard (1,96 m pour 105 kg) l'a certes sur les épaules, mais surtout bien faite.

Depuis tout petit, il veut être le meilleur. En tout. En sport comme à l'école. Rares - pour ne pas dire inexistants - sont les sportifs professionnels à avoir décroché un bac scientifique avec mention bien. «Nikola avait envie d'avancer, il savait où il voulait aller, explique son père, entraîneur des gardiens de l'équipe tunisienne. Il a reçu la même éducation que mon épouse et moi. Niko a très vite compris certaines valeurs humaines, qui ne sont ni croates, ni serbes ou bien françaises.» Et le paternel, qui était aussi l'éducateur sportif, a dû gérer l'impétueuse ambition du fiston surdoué. «J'ai dû lui cacher certaines choses, raconte-t-il en évoquant ces matchs où son fils avait pour consigne de ne pas tirer au but. C'était un jeu qu'il ne comprenait qu'après coup.» L'amour du jeu. La soif de réussir. «Ce n'est pas un père qui a pris son gamin en disant je vais faire de lui le meilleur du monde, corrobore Nikola. Ce n'est pas comme ce que l'on voit dès fois au tennis ou dans d'autres sports. Tout est venu de moi, c'était mon ambition.» Bercé par les récits de son portier de père passé par Nis, puis en France par Robertsau, Colmar et Frontignan. «Tu es petit, tu écoutes, tu t'imprègnes. Mon père, c'était aussi mon idole.»

Le lien est fort, l'admiration réciproque. Branko renvoie en écho : «Nous, les Slaves, on est des voyageurs, des buveurs de cultures diverses. Mais c'est grâce à nos enfants que nous avons pu nous intégrer dans une nouvelle société.» Car le portrait familial ne serait complet sans Luka, le petit frère de 19 ans qui évolue à Montpellier. Nikola a déjà gagné l'or olympique et s'est fixé un nouvel objectif, «jouer un jour avec (son) frère», qui a renoncé à une carrière qui s'annonçait prometteuse de tennisman pour embrasser la passion familiale. Tiens, voilà peut-être un domaine dans lequel Niko a trouvé son maître. Et les parties de tennis contre Luka ? «Quand j'avais 11-12 ans, il a commencé à me battre, donc j'ai arrêté. Ça m'énervait !» Ouf ! Il n'est pas parfait.

Parlement

Palabre
Dialog
جرګه
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Des chefs de tribus ont demandé aujourd'hui au gouvernement du Pakistan de mettre un terme à ses offensives lancées ces derniers mois contre les combattants islamistes dans les zones tribales du nord-ouest, limitrophes de l'Afghanistan, et d'entamer des pourparlers.

Une cinquantaine de chefs coutumiers et de leaders religieux se sont réunis à Multan, dans le centre du Pakistan, au cours d'une "jirga", une assemblée tribale traditionnelle, à l'appel du principal parti islamiste du pays, le Jamaat-i-Islami (JI).

"Le gouvernement devrait éviter la confrontation et rechercher les voies de la négociation par le biais d'une jirga afin de restaurer la paix et la tranquillité", ont écrit les participants dans une déclaration commune.

La jirga de Multan a également "condamné avec véhémence les tirs de missiles américains" qui visent régulièrement les combattants islamistes dans les zones tribales.

Des dizaines de missiles, tirés par des avions sans pilote drone de la CIA ou des forces américaines basées en Afghanistan, ont tué de nombreux combattants islamistes présumés --dont des cadres d'Al-Qaïda-- depuis quatre mois dans le nord-ouest du Pakistan, mais aussi des civils, selon les autorités pakistanaises qui protestent verbalement à chaque frappe.

Islamabad est, depuis fin 2001, un allié-clé de Washington dans sa "guerre contre le terrorisme" mais Al-Qaïda et les talibans afghans ont reconstitué leurs forces dans les zones tribales, soutenus par les talibans pakistanais.

Sous la pression intense de Washington, l'armée pakistanaise a lancé des offensives depuis l'été dans plusieurs districts du nord-ouest.

Monday, January 26, 2009

La princesse de cleves



Oui Nicolas, Tous avec Nous!
Liberons la princesse de cleves des manuels scolaires!


Summary
France, 1559. King Henri II gives a state ball in honour of the marriage of the young Lady of Chartres to the Prince of Cleves. At the ball, the young princess dances with the handsome Duke of Nemours and the two are instantly attracted to one another. Realising that he is in love, the Duke of Nemour subsequently tries to court the princess, but in vain. Although the Princess of Cleves loves the Duke as much as he loves her, she remains implacably loyal to her husband...

Critique
Princesse de Clèves is a lavish period production based on the 17th century historical novel by Madame de La Fayette. Set at the court of the ill-fated Henri II, the story concerns mainly an impossible romance between a young duke and a young Princess, although it also brings in wider court intrigue involving other historical figures such as Catherine de Medici. The script was written by Jean Delannoy and Jean Cocteau, who previously collaborated on the 1943 film L’Eternel retour. Another connection between these two films is the actor Jean Marais, who starred in both films.

Despite its impressive visual feel, Princesse de Clèves is a film which has some difficulty engaging with its audience. The grandeur of the film’s production values (extravagant sets and costumes) appears to dilute those less tangible elements which are needed for the film to move its spectator – such as a sense of intimacy and passion. Whilst the dialogue is beautifully poetic in places, it is not sufficient to convey the impression of an all-consuming love and there is a sense that, in the hands of a younger director, with a stronger cast, this could have been a much more powerful film. Despite these qualms, the film has much to commend it. It is competently directed by one of the masters of French cinema, offers a convincing portrayal of the era in which it is set, and features the magnificent Jean Marais in one of his most poignant film roles.

Why putting it out?
because it is not the true story.
wikipedia talks:
Les contemporains d'Henri III nous ont décrit le roi comme un homme aimant beaucoup les femmes. Si celles-ci furent assez peu connues, c'est qu’Henri III ne leur conféra jamais le titre de maîtresse officielle.

Dans sa jeunesse, Henri III se fait remarquer par une fréquentation des femmes particulièrement poussée, au point que sa réputation et sa santé, en pâtissent[7]. En 1582, un ambassadeur italien disait : « Le roi a aussi eu quelques maladies pour avoir fréquenté dans sa jeunesse trop familièrement les femmes »[8].

Ses maîtresses les plus célèbres sont Louise de La Béraudière, Mme d’Estrées (mère de Gabrielle d’Estrées) et Renée de Rieux, issues de la moyenne noblesse[9]. Il fréquente également lors de son périple italien qui le ramène de Pologne en juin 1574, la belle Veronica Franco, une courtisane vénitienne fort renommée à l'époque. À la même date, il entretient aussi une relation platonique avec la princesse de Condé, Marie de Clèves, pour qui il éprouva une passion démesurée. Sa mort survenue brutalement le 30 octobre 1574 amena le roi à prendre un deuil particulièrement ostensible qui étonna la cour.>>>>>>>

Ok..not true neither...
She was maybe poisoned, but by whom?
the medicis family had so many ennemies...
although his their own family....

Just talk about history not to let it come again...
Auschwitz.

Khan Harry Bay...









(Dom, dom, dom, dom)

C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui vivaient en secret
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles habitaient par milliers

(Eh) Passe le cap de l'ouragan
L'endroit perdu isole au bout des mers
Il y a des vaisseaux fantomes dans l'ocean
Pour proteger toute la vie de la terre
Eh! Eh! C'est une baie qui est tres loin, tres loin d'ici
Eh! Eh! Une baie en secret ou personne ne peut aller

C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui vivaient en secret
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles habitaient par milliers, armees

Et rien qu'entre elles et sans garcon
Sur des rochers, des forets elles habitaient
Toutes les journees depensees en jeux fripons
Et rien de plus qui pouvait les deranger
Eh! Eh! Une pyramide sur des remparts les protegeait
Eh! Eh! Et puis derriere, elles se faisaient des choses bizarres

C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui s'aimaient par milliers
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui s'aimaient et s'embrassaient, armees

(oooOOO , oooOOO)

(Oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh
Oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh)

(Oh-oh, oh-oh
Oh-oh, oh-oh)

Et dans la nuit et sous la lune
Elles s'embrassaient, s'amusaient quand elles voulaient
Et elles se baignaient en short dans les ecumes
Et elles dansaient, s'amusaient comme elles voulaient
Eh! Eh! C'est dans cette baie, personne ne pouvait acceder
Eh! Eh! Une baie en secret ou personne ne peut aller

C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui vivaient en secret
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles habitaient par milliers, armees

(oooOOO , Oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh)

C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui s'aimaient et s'embrassaient
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles qui vivaient en secret
C'est a Canary Bay Ouh! Ouh!
Des filles habitaient par milliers, armees
C'est a Canary Bay

元旦





Sunday, January 25, 2009

Ce reve recurrent...

Je devrais en parler a mon psy.
une goutte de pluie tombe du ciel
se separe en deux
mais une seule se retrouve au sol, l autre a disparu.
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J ai ce reve la depuis mes 10 ans

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Je dois etre trop romantique

sentimentale

je me demande ce que je fais ici, sur cette terre, au milieu de cette merde...et personne d autre a se confier que ce blog...

Set them free...


Je me suis demande souvent pourquoi tant d individus essayaient de se faire mon partenaire, de me le piquer, ou de me cocufier...
J ai mis longtemps avant de comprendre et de realiser le degre de pourriture de notre societe, ainsi et surtout de ceux qui s erigent en professeur (BEURK), ...

avant d avoir finalement la rage de l humanite et de rever de rencontrer un vrai complice.
Mais quand on a deja ete amoureux, on ne peut pas se satisfaire de rencontre d un soir.
De plus, j ai honte souvent, avec des inconnus.
et puis je me degoute, je trouve cela deprimant..on se dit rien, on se reverra pas et c est nul, sans sentiment, cela respire la sueur et la mauvaISE vie.


Alors, plus d amis, desole.
Des copains, je veux bien essayer> mais je suis devenu trop mefiant.
Quant a un conjoint?Laisse moi rire, mes dernieres experiences me rendent mysanthrope...Genre un mec qui s installerait dans ma maison avec ses femmes et ses maitresses...pour mieux me degager a l occasion...
J ai envie de vomir
mieux me vaudrait un chien.
Au moins, un chien est fidele en amour.


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Ma grandmere, veuve malheureuse, a retrouve l amour a 80 ans...il n est jamais trop tard...


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Allez, on ecrase sa gitane...
on se passe les glandes lacrymales a la serpillere
et on se garde un coeur de pierre..

Je dois voyager...
Je ne pourrais jamais le faire seul...
Je ne survivrais pas si je ne suis pas chez moi un jour comme aujourdhui..
Quand le coeur saigne, rien ne peut le soigner..
Il saigne depuis 2000ans....au moins...
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Je fais trop de reves, cela me depasse..
On me dit, c est bien les reves...quand je reve comme la nuit derniere,l me faut une semaine pour m en remettre.
Je hais les soidisant psy ou coach..je vous emmerde
Je ne peux pas faire autrement que vivre dans mes reves...essayez vous de vivre avec ce que j ai dans la tete et ce que j ai a transporter sur mon dos deja abime...
Laissez moi rever a l amour...
rangez pour vous vos performances de dragueurs messieurs...
Parlez de sentiments et arretez la longueur de votre queue.Merci pour moi
Quand a vous mesdames, arretez de vous jeter sur les rares personnes qui me plaisent...si je pouvais etre excitee facilement, comme vous, je serais ravie mais laissez moi au moins le temps de la romance, histoire de me donner quelques jolies reves avant de me pourrir ma vie.
Le prochain, je l enferme hihih

Let people work !!!!


Apres les faucons (ou vrais cons, faut pas se le cacher), voici les vautours...




Irritated Obama 'Stares Down' Reporter During Press Corps Visit
When a reporter tried to quiz President Obama on Thursday about a lobbyist chosen for a top Defense Department job, the president quickly became agitated.


WASHINGTON -- President Obama paid a surprise visit to members of the White House press corps Thursday evening when he walked through their working area of the West Wing, but he quickly became agitated when he was confronted with a question by one of the journalists.

According to reports, when the Politico's Jonathan Martin asked the president about his nominee for deputy secretary of defense, William Lynn, Obama refused to answer, saying he was not there to take questions.

"I came down here to visit. I didn't come down here -- this is what happens. I can't end up visiting you guys and shaking hands if I am going to grilled every time I come down here," the president said.

Pressed further by the Politico reporter about his Pentagon nominee, Obama turned more serious, putting his hand on the reporter's shoulder and staring him in the eye.

"All right, come on," he said, with obvious irritation in his voice. "We will be having a press conference, at which time you can feel free to [ask] questions. Right now, I just wanted to say hello and introduce myself to you guys -- that's all I was trying to do," Politico.com reported.

The situation came to a close when a cameraman in the room interrupted, declaring: "I'd like to say it one more time: 'Mr. President.'"

The nominee in question, William Lynn, is a former lobbyist for defense contractor Raytheon, a pick Obama made in contradiction to his much-heralded anti-lobbying rules.

Obama was willing to field lighter questions, though.

Yes, he's discovered the gym in the White House residence. No, he hasn't played basketball yet on the outdoor White House court because it's been too cold.

The president's walk-through came without notice, causing a bit of a wild scene. Reporters started running toward him, wary of missing a single word. When one reporter who hadn't spotted Obama yet asked what everyone was rushing toward, another one responded: "The big guy."

Obama made it to the back of the briefing room, in a narrow hallway, where he shook hands.

"I've got to say, it's smaller than I thought," the president said as he looked around for the first time.

He introduced himself to those whom he didn't already know from the long campaign trail and said it would take a little while to learn everyone's names.

The president then continued on, walking by the media outlets' booths on the same floor.

Obama asked about the reasoning behind why certain media outlets had work space where they did. When he got an answer involving the intricacies of press corps protocol, Obama responded: "This is worse than the Middle East here -- who's sitting where and all that stuff."

As he walked through the area where journalists have lunch, Obama noticed a pair of vending machines that dispense soda and junk food.

"Looks like you have some healthy snacks, guys," Obama said.

Then he walked through the basement quarters, where several other news outlets set up shop. He said that was smaller than he expected too.

The Associated Press contributed to this report.

Pathologies cardiaques


Les maladies de la valvule mitrale



Les valvulopathies mitrales sont, dans la majorité des cas, les séquelles du rhumatisme articulaire aigu (infection streptococcique). PHYSIOPATHOLOGIE



La fermeture incomplète de la valve auriculo-ventriculaire réalise l'insuffisance mitrale. Le retour du sang du ventricule vers l'oreillette a pour conséquence une dilatation de l'oreillette et du ventricule gauches; d’où une insuffisance ventriculaire gauche.

L'ouverture incomplète définit le rétrécissement. Ce barrage est responsable d'une hyperpression dans l'oreillette gauche, les veines pulmonaires, le capillaire pulmonaire et l'artère pulmonaire(HTAP). D'où un retentissement sur le ventricule droit.

L'insuffisance mitrale (IM)

La tolérance d'une IM pure est excellente. La découverte est plus volontiers fortuite. L'auscultation trouve un souffle systolique associé à un 3ème bruit du au choc de l'ondée sanguine contre la paroi ventriculaire. L'ECG montre une hypertrophie auriculaire et ventriculaire gauches. L'échocardiographie permet d'apprécier l'importance de l'IM. Les signes d'insuffisance cardiaque doivent imposer le remplacement valvulaire.



Le rétrécissment mitral (RM)

Découverte fortuite ou à l'occasion d'un accident (oedème aigu du poumon, trouble du rythme ou embolie cérébrale). L'auscultation note un roulement diastolique et un claquement d'ouverture de la mitrale. L'échocardiographie objective l'IM. L'électrocardiogramme montre l'hypertrophie auriculaire gauche et plus tardivement l'hypertrophie ventriculaire droite. En cas de RM serré la dilatation percutanée ou la commissurotomie chirurgicale améliore le patient.
La maladie mitrale associe à des degrés divers l'IM et le RM.