Thursday, March 12, 2009

e président du Bayern Munich, Karl-Heinz Rummenigge, a répété que le club bavarois n'avait pas l'intention de céder son milieu offensif français Franck Ribéry, car "un tel joueur, chouchou des foules, ne se vend pas", a-t-il expliqué sur la chaîne de télévision payante Premiere. "Nous n'allons pas laisser partir un joueur comme Ribéry dont le contrat expire dans deux ans et demi", a déclaré Rummenigge. "Quand on a dans son effectif un tel joueur, on veut bien sûr qu'il reste. C'est le chouchou des foules, un de ces joueurs qu'aiment les supporteurs, car ils incarnent un football spectaculaire, efficace et synonyme de succès", a poursuivi le dirigeant du club bavarois. "Un tel joueur ne se vend pas, cela se garde", a assuré Rummenigge qui, par le passé, avait indiqué que le Bayern ne céderait jamais l'international français même pour tout l'or du monde. Arrivé en juin 2007 au Bayern Munich, Ribéry est rapidement devenu la coqueluche du public bavarois et le meilleur joueur de Bundesliga. En début d'année toutefois, il a laissé entendre qu'il serait prêt à quitter le Bayern, avant de faire quelque peu marche arrière pour faire taire les incessantes spéculations sur son compte. Par ailleurs, Rummenigge a indiqué que le Bayern n'avait "aucunement l'intention" de recruter l'international belarusse de Barcelone, Aleksandr Hleb
---------------------------------------------------------------Sur les 4 à 6 millions de malentendants estimés en France, moins de 17 % sont appareillés. Ici, l'actrice Emmanuelle Devos joue une jeune femme malentendante dans «Sur mes lèvres». Crédits photo : Archivesdu7emeArt-Photo12
Plusieurs centaines de modèles d'audioprothèses existent en France, rendant plus difficile le choix pour les patients.

C'est la faute du conjoint qui ne parle pas assez fort, des petits-enfants qui n'articulent pas… Tous les spécialistes de l'audition le disent, les personnes qui deviennent sourdes passent par une phase de déni de leur handicap. Un comportement qui explique en partie leur peu d'empressement à consulter en milieu spécialisé et à s'équiper de prothèses auditives. Sur les 4 à 6 millions de malentendants estimés en France (dont les deux tiers ont plus de 65 ans), moins de un million (17 %) sont appareillés.

Selon une enquête Ipsos, rendue publique jeudi, dans le cadre de la 12e Journée nationale de l'audition, le prix élevé et le faible remboursement sont le premier frein à l'appareillage, devant les raisons esthétiques et «la honte de montrer son handicap». Le marché a cependant bien progressé : les ventes annuelles d'audioprothèses sont passées de 55 000 en 1975 à 365 000 en 2005 en France, d'après un rapport de la Haute Autorité de santé.

À qui sont destinés ces appareils qui amplifient les sons, qu'en attendre, et surtout comment s'y retrouver dans les centaines de modèles ? Face à une gêne auditive, la première étape est médicale. L'ORL confirme la surdité, qu'il quantifie par un audiogramme, et recherche son origine. Au-delà de 65 ans, il s'agit le plus souvent d'une presbyacousie, vieillissement progressif des cellules sensorielles de l'oreille. « L'idéal serait de consulter un ORL tous les 3 à 4 ans à partir de la cinquantaine ; plus tôt pour les populations à risque, exposées au bruit professionnellement ou par leurs loisirs », résume le Pr Christian Gélis, biophysicien (Montpellier). À partir d'une surdité de plus de 30 décibels dans les fréquences critiques pour la conversation, le praticien fait une ordonnance pour une aide auditive. «Plus l'appareil est prescrit tôt, meilleur est le résultat», insiste le Dr Pascal Foeillet, ORL à Fontainebleau. De fait, la surdité altère les informations transmises de l'oreille jusqu'au cerveau. Or, si elles ne sont plus stimulées, les zones corticales de l'audition s'atrophient. Portées trop tard, les prothèses n'amélioreront pas la compréhension…

Si la prescription médicale est indispensable, c'est avec un audioprothésiste que sont effectués le choix de l'appareil, les réglages et le suivi. «C'est un travail de longue haleine, estime Philippe Metzger, audioprothésiste à Paris. La sélection du modèle est une phase cruciale, mais les contrôles le sont tout autant pour que la prothèse ne finisse pas dans un tiroir.» Au total, des centaines de modèles, en grande majorité numériques, sont mis sur le marché par les seize fabricants. « Le premier choix est celui du type d'appareil : intra-auriculaire, contour d'oreille ou intermédiaire » précise Philippe Metzger. Les premiers sont plus discrets, mais ils ne s'adaptent pas à toutes les oreilles et ils sont plus fragiles. Ils ont de moins en moins la cote.


Des aides qui «changent la vie»

Quant au prix, il varie de 1 000 à 2 000 euros, contrôles compris. Un coût le plus souvent à multiplier par deux, les deux oreilles devant être équipées. «Globalement, toutes les marques se tiennent, estime l'audioprothésiste. Chacune décline ses modèles en trois gammes de prix : entrée, milieu et haut de gamme. Ce qui fait la différence, c'est avant tout le nombre de canaux d'amplification au niveau du microprocesseur.» Chaque canal amplifie une fréquence sonore différente. Plus ils sont nombreux, plus l'analyse du son est précise, ce qui permet une meilleure séparation de la voix et de la parole. Les appareils les plus chers ont aussi des micros plus sophistiqués, capables de s'orienter dans la direction des voix. Globalement, les modèles les plus high-tech ont plus de fonctions. Certains sont capables de générer un bruit de fond pour masquer des acouphènes ou de diffuser une musique. Il est même possible, via un boîtier porté autour du cou, de recevoir directement dans l'appareil auditif le son du téléphone, de la télévision ou d'un baladeur musical.

Pour ceux qui ont réussi à les adopter - quelques semaines d'adaptation sont nécessaires -, ces aides auditives «changent la vie» et permettent de se réinsérer socialement. «J'ai découvert des sons que je ne connaissais pas, comme le clic de la souris, et redécouvert d'autres que j'avais oubliés», témoigne une femme équipée depuis huit ans. Les audioprothèses transforment aussi le pronostic des surdités infantiles. Dans le Nord-Pas-de-Calais, où les handicaps auditifs sont dépistés systématiquement en maternité, le Dr Jacques Leman suit de plus en plus de très jeunes enfants appareillés. «Les audioprothèses peuvent être essayées dès 3 à 6 mois, indique-t-il. Si elles sont efficaces et bien tolérées, l'enfant grandit avec. Sinon, il peut bénéficier d'un implant cochléaire vers 18-24 mois.» Ces prises en charge précoces permettent aujourd'hui à des enfants sourds profonds de suivre un parcours scolaire normal.
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Tout le monde sait que mas triche, pour etre aussi riche.
Tout le monde sait qu'on se fout de sa gueule.
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"L'école doit rester un sanctuaire, préservé, plus qu'aucun autre lieu, des violences de toute nature." Nicolas Sarkozy a demandé mercredi à Michèle Alliot-Marie "de lui présenter d'ici fin mars un plan d'action" pour renforcer la lutte contre les "bandes violentes", après avoir reçu des élèves et enseignants de Gagny, en Seine-Saint-Denis, théâtre d'un expédition punitive, a annoncé l'Elysée. "Le chef de l'Etat a assuré que tout serait mis en oeuvre pour qu'un tel événement ne se reproduise pas".

Il a demandé aux ministres de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et de l'Education Nationale Xavier Darcos, qui ont tous deux assisté à l'entretien, "de lancer, en concertation avec les collectivités locales concernées, une réflexion destinée à renforcer par des mesures opérationnelles la sécurisation des établissements scolaires", précise la présidence. "Parallèlement, il a demandé à Mme Alliot-Marie de lui présenter d'ici fin mars un plan d'action destiné à renforcer la lutte contre le phénomène des bandes violentes."

Une expédition punitive liée à la drogue ?

Selon le communiqué de la présidence, lors de l'entretien, Nicolas Sarkozy a "salué le comportement exemplaire de l'ensemble de la communauté éducative du lycée, ainsi que la rapidité de l'intervention de la police qui a permis l'arrestation de 13 individus". 13 jeunes de 14 à 20 ans étaient en garde à vue mercredi soir au commissariat de Gagny, dont trois directement en lien avec l'expédition punitive menée mardi par une bande cagoulée et armée au lycée Jean-Baptiste Clément, selon une source judiciaire.

Michèle Alliot-Marie a de son côté affirmé à la presse que les trafics de drogue sont "probablement à l'origine de l'agressivité qui existe aujourd'hui entre un certain nombre de bandes". "Qu'ils ne se fassent aucune illusion. Nous continuerons à agir contre les trafics dans ces lieux", avec "des sanctions exemplaires contre les membres de ces bandes qui ont osé pénétrer dans un établissement scolaire", a-t-elle ajouté, en précisant toutefois que c'est "l'enquête qui dira" si ce qui s'est passé à Gagny est lié à la drogue.

Le calme était revenu mercredi matin au lycée Jean-Baptiste Clément de Gagny mais les rares élèves présents ont "peur" que la bande armée ne "revienne" (voir la vidéo). Par ailleurs, un lycéen de 17 ans a été très légèrement brûlé au visage mercredi par un tir de revolver à grenaille chargé à blanc devant un établissement scolaire situé à Montgeron, dans l'Essonne : lire notre article.

Violences entre bandes au lycée de Beaumont : 4 jeunes déférés au parquet
Quatre mineurs placés en garde à vue mardi à la suite des violences survenues vendredi devant le lycée Evariste Galois de Beaumont-sur-Oise ont été déférés mercredi devant le parquet de Pontoise en vue d'une probable mise en examen, a-t-on appris de source judiciaire. Entre 50 et 70 jeunes de Persan et de Berne-sur-Oise se sont affrontés vendredi sur le parvis du lycée Evariste Galois, selon le cabinet de l'inspecteur d'académie du Val-d'Oise. Un proviseur adjoint et un conseiller principal d'éducation (CPE) ont été blessés en tentant de s'interposer entre "les deux groupes" qui se battaient "à coups de bâtons et de bouteilles de verre", selon une source judiciaire.
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Et plutot que du pingpong ou du theatre à la con, on devrait apprendre la conjugaison.
Conjugaison des commandes
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En aviation, la conjugaison des commandes est une action simultanée sur le manche et le palonnier. Le pilote doit alors agir sur le palonnier du même côté que sur le manche. L'action sur le palonnier oriente la gouverne de direction vers l'intérieur du virage et corrige ainsi le lacet inverse qui tend à faire déraper l'avion vers l'extérieur du virage.
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allez, on me fait une étude métaphorique et on me la rend en 3 exemplaires pour la semaine prochaine, ce sera pris en compte dans le contrôle continu, en attendant le contrôle alternatif.
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