Thursday, March 12, 2009

Kitsch een



Méthodologie [modifier]
Au départ en 1984, Nielsen, spécialiste des relevés de ventes en hypermarchés, relevait manuellement les différences de stock dans les bacs et non pas les sorties caisse, Ipsos s'occupaient des disquaires.

L'étude se concentrait sur une liste de 70 titres élaborée par les maisons de disques vendus chez un certains nombre de détaillants et grandes surfaces tenus secrets.

Philippe Gildas disait dans la préface du Top d'or 1986: "Aujourd'hui, il n'est pas un professionnel sérieux pour mettre en doute la justesse et l'efficacité des classements hebdomadaires. Il faut dire que les enquêtes dans les points de vente de disques sont effectuées par deux instituts de grande réputation, Ipsos et Nielsen, capables de compter avec une précision diabolique le nombre de boites de Coca-Cola ou de Pepsi vendues dans le monde entier, Nielsen n'aurait pas pris le risque de ce challenge hebdomadaire que représente pour lui le Top 50, s'il n'avait été certain de pouvoir photographier sans erreur les ventes réelles de 45 tours et de maxis 45 tours."

Ce n'est qu'à partir de 1988 que la distribution s'informatise, et que les méthodes de classements s'affinent.

Depuis 1993, c'est Ifop qui réalise les enquêtes hebdomadaires

On peut maintenant savoir le nombre exact de disques vendus sur une période donnée dans l'ensemble de la distribution française.

De plus, les enquêtes portent maintenant sur l'ensemble des disques qui sont en vente dans les points de vente.


La médiatisation du Top 50 à la télévision [modifier]