Saturday, March 7, 2009

La crise Conjuguale

Comme atoute affaire de grammaires et de grandspairs, l'étendue parfois de certains situations donnent à réflechir au fait qu'il vaudrait mieux que ce genre de crise ne se reproduise pas.
MAIS QUI DONC EST RESPONSABLE DES MOTS QUI NOUS ACCABLENT?
Utiliser une crise conjuguale pour amuser la galerie?
ou amuser le monde avec des sosies
ou des on va bloquer ton compte
merci bien, ça IRA pour cette foi
Parfois, c'est nu qu'on est le mieux protégé.
Je me le dis de plus en plus
Sinon, on ne sait plus où on va
comment expliquer qu'en france, on ment au moins à chaque adverbe???????(tous droits réservés, j'ai déjà eu des fuites dans des lettres à des procureurs..)
D'ailleurs, à ce propos!
Formidables, les greves des avocats!
mais il faut preveni alors!
oui, le divorce par le notaire c'est pas bien
mais par les juges nonplus!!!
le divorce par toute officine de droit, ou commission religieuse c'est puant!
c'est comme le mariage!
d'ailleurs, un divorce, c'est un mariage avant tout!
le mariage quand il ya entremetteur!
Méfiez vous!Meme si il est representant de l'état!
Demandez à Jacques Martin à propos de Cécilia....
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Voilà un Héros un véritable libéral

Notez


Un Espagnol en colère saccage un café d'ETA Emilio Gutierrez, devient en un jour «un héros de la révolte anti-ETAT».


http://www.youtube.com/watch?v=Ikzdg1AJa6A&feature=related
Voir vidéo de la scène
Au moins ce n'est pas un poseur de bombe comme les lâches de l'ETA qui exécutent aveuglement œil pour œil dent pour dent en plein jour.... Il serait temps d'en finir avec tout ces groupuscules qui pourrissent la vie
"Vous avez foutu en l'air ma maison, je vais faire la même chose avec la vôtre". Armé d'une masse, Emilio Gutierrez a déversé sa rage sur le local des indépendantistes radicaux basques de son petit village de Lazcao dans la région de Guipúzcoa.
De la "herriko taberna", le bar où se réunissent les sympathisants de l'ETA, il ne reste plus grand chose après son passage, mardi soir. Vitrines, mobilier, télévision et ordinateur n'ont pas résisté. La veille, ce jeune homme, qualifié de pacifiste par son entourage, avait dû abandonner dans l'urgence son appartement situé au-dessus du local du Parti socialiste. Tout comme le siège du PS, son appartement a été soufflé par les huit kilos d'explosifs placés par l'organisation terroriste basque ETA.
Peur des représailles
C'est la première fois en quarante ans d'existence d'ETA, responsable de la mort de 840 personnes, qu'une victime se venge publiquement. L'événement a aussitôt suscité des réactions au sein de la classe politique basque, en pleine campagne électorale avant le scrutin régional très disputé, prévu ce dimanche. Chacun à sa manière, les candidats des trois principaux partis politiques ont commenté cet acte de vengeance.
Les nationalistes modérés du PNV, au pouvoir depuis trente ans, ont souligné qu'il fallait s'en tenir à une «"attitude sévère, mais sereine" face à la violence de l'ETA. Le candidat socialiste Patxi Lopez a reconnu qu'il comprenait ce "geste de désespoir, mais qu'il ne fallait pas entrer dans la stratégie du “œil pour œil, dent pour dent” afin d'éviter une escalade de la violence qui serait insoutenable". Les conservateurs du Parti populaire ont désapprouvé le geste, mais se veulent solidaires d'Emilio Gutierrez qu'ils se proposent de défendre devant la justice.
Emilio Gutierrez, dont les victimes du terrorisme saluent l'acte de "bravoure", est désormais perçu comme "un héros de la révolte anti-ETA".
La peur des représailles oblige généralement les victimes à garder un silence prudent.
Mercredi, le jeune homme, en liberté sous caution, a dû prendre la route d'Alicante, en laissant derrière lui son travail et sa petite amie.
Quelques heures après l'attaque du siège des sympathisants de l'ETA, le village a été recouvert d'affiches, où l'on pouvait lire sous la photo du jeune homme "Emilio Gutierrez fasciste".
Le ministère de l'Intérieur basque a reconnu qu'il faudrait sans doute protéger Emilio s'il voulait revenir vivre au Pays basque, où il est désormais menacé de mort par l'ETA.
Lors de son arrestation, Emilio Gutierrez n'a pas regretté son geste, mais a seulement demandé pardon à son père. Celui-ci est un ancien conseiller municipal socialiste, cible potentielle, comme les autres, de l'ETAT.